Aplat a la gouache aquarellee

Nous allons voir, dans cet article, comment réaliser un aplat à la gouache aquarellée. Qu’est-ce que la gouache aquarellée ? Et  tout d’abord…

Qu’est-ce qu’un aplat ?

Un aplat, ou à-plat, bleu.
Un aplat, ou à-plat, bleu.

Le dictionnaire Antidote nous apprend qu’il y a deux variantes à ce mot, masculin singulier : un “à-plat” ou “aplat”. Avec un “s” au pluriel : des “aplats” ou des “à-plats”. Et qu’il signifie, dans les domaines suivants :

  • Beaux-arts : “Dans une impression, une peinture, etc., surface ou plage dont l’unique teinte est appliquée de façon uniforme.”
  • Imprimerie : “Surface unie, dépourvue de trame ou de trait, qui donne une teinte uniforme à l’impression.”

Vous pouvez voir un exemple d’aplat bleu, ci-contre.

 

Qu’est-ce que la gouache aquarellée ?

Etapes de la pratique de la gouache aquarellée. Schéma de Richard Martens.
Etapes de la pratique de la gouache aquarellée. Schéma de Richard Martens.

C’est tout simplement de la gouache excessivement diluée. Je dirais même… Noyée ! Comment faire un aplat avec de la gouache aquarellée ? Voici quelques-unes des étapes sur ce schéma. Nous allons voir cela plus en détail ensuite.

 

Comment obtenir un aplat ?

Pictogramme de Richard Martens : triangle jaune à point d'exclamation noir.En  respectant toutes les étapes, vous pourrez obtenir un bel aplat à la gouache aquarellée. Attention ! Chaque étape est essentielle. En omettre une peut vous empêcher de réussir cet aplat.

 

12 points pour réussir un aplat !

Voyons, ci-après, et en détail, chacune des 12 étapes… C’est parti !

1. Mettre de l’eau dans un gobelet…

Mettons environ un quart ou un cinquième d’un verre d’eau dans ce gobelet. Nous allons utiliser un pinceau (formant une pointe) en poils de “petit gris” ou en poils de “martre”. Un pinceau et non une brosse !

2. Ajouter la couleur petit à petit…

Puis nous ajoutons, dans la partie haute du gobelet, un peu de gouache. Très peu. Car il est facile d’en ajouter. Impossible d’en enlever. Sauf à rajouter de l’eau, bien sûr… Avec le pinceau mouillé (et non la brosse !), tirons la gouache vers le bas. afin de dissoudre la matière. Pourquoi dans la partie haute ? Tout simplement parce que si nous faisons tomber une petite quantité de gouache directement dans l’eau, nous pouvons ne plus la voir… Il devient donc difficile de savoir si nous avons réussi à la dissoudre dans l’eau. Si ce n’est pas le cas, nous risquons de peindre tout-à-coup avec un “grumeau” de gouache !

3. Est-ce assez liquide ?

Ce doit être liquide. Si ce n’est pas le cas (crémeux comme du yaourt brassé, par exemple), il faut ajouter de l’eau. Tout en “touillant”…

3bis. Est-ce assez coloré ?

Si c’est trop “pâle”, pas assez coloré, en testant sur un morceau de feuille blanche, alors, il est nécessaire d’ajouter de la gouache dans la partie haute du gobelet.

4. Incliner le plan de travail

Si c’est assez liquide & assez coloré, nous passons à l’étape suivante. Il est important que le plan de travail qui reçoit l’aplat, ou bien la planche (ou le carton) qui supporte la feuille sur laquelle on va peindre soit en “pente”. Entre 15 & 30°. Pas vertical ! Proche de l’horizontale… Pourquoi peindre sur un plan incliné ? Pour utiliser la gravité afin que le liquide descende sur la feuille au fur & à mesure des coups de pinceau.

5. Remuer le liquide à chaque fois…

C’est important de remuer avant de peindre chaque bande de couleur. Pourquoi ? Parce que la gouache – très diluée – tombe au fond du récipient. Si nous ne remuons pas le liquide, les bandes seront inégales en valeur : donc trop claires parfois…

6. Laisser tomber la dernière goutte

Quand le pinceau est gorgé de la couleur, tenons le verticalement… Ainsi l’excédent de liquide tombe dans le récipient… Pour éviter que la dernière goutte puisse choir sur le papier, il suffit de toucher la paroi haute du gobelet avec le pointe du pinceau, pour que, par capillarité,  cette goutte, prête à tomber, coule le long de la paroi du récipient.

7. Coucher le pinceau et peindre une bande à l’horizontale…

"Coucher" et écraser notre pinceau pour peindre une large bande de couleur, par Richard Martens.
« Coucher » et écraser notre pinceau pour peindre une large bande de couleur, par Richard Martens.

Ensuite nous mettons le pinceau presque à l’horizontale pour peindre une bande, en observant (& en contrôlant) la pointe du pinceau. En tenant ce dernier presque couché sur le plan incliné, le ventre du pinceau s’écrase sur le papier, traçant une bande plutôt large…

8. Reprendre de la couleur pour chaque bande

Pour chaque bande, nous devons reprendre de la couleur… en la remuant ! Sauf quand nous arrivons vers le bas de la surface à couvrir.

9. Chaque nouvelle bande chevauche la précédente

C’est très important que chaque bande chevauche la précédente. En effet, le plan de travail étant incliné, le liquide (la couleur) – par gravité – descend vers le bas de la bande de couleur. Et est retenue dans cette bande par la capillarité. Ainsi, la nouvelle bande, qui chevauche la précédente, encore fraîche, permet à la nouvelle bande de se fondre dans le bas de la précédente.

10. Vers la fin, cesser de prendre de la couleur…

Comme je viens de l’écrire plus haut, quand nous arrivons vers le bas de la surface à couvrir, nous cessons de reprendre de la couleur liquide, en épuisant ce qui reste. Attention : il est important qu’il y ait quand même un certain excédent de liquide. Et que nous n’ayons pas l’obligation de “tirer” sur le peu de couleur pour finir. Sinon il y aura une différence de valeur (probablement plus claire).

11. Incliner la feuille vers la gauche ou la droite…

Arrivé à la dernière bande, inclinons la feuille vers la gauche (ou la droite) afin de permettre à ce qui reste de liquide de s’écouler en un seul point, afin de…

12. Et pomper les dernières gouttes avec le pinceau sec…

Ou presque sec ! Pour cela, il est nécessaire de – vraiment – “essorer” le pinceau, en le pressant. Puis posons – à peine – la pointe de ce pinceau dans la goutte. Et nous pouvons observer qu’il absorbe la goutte, qu’il l’aspire littéralement ! Cela en une ou plusieurs fois…

Et voilà. vous savez tout. Il ne vous reste plus qu’à pratiquer. Au début, cela peut consister à remplir des carrés d’environ 10 cm de côté, par exemple… Plus vous pratiquerez, plus vous progresserez, bien évidemment…

Richard Martens

Texte 2.0, avec ajout d’un dessin (au tableau vert) du pinceau couché, et d’une remise en images après piratage…

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Fabriquer deux viseurs

Il est possible de fabriquer certains de ses outils. Pas tous, hélas ! “Quels outils ?” me direz-vous. Je vais, au fil des articles, en décrire quelques-uns. Et en expliquer l’usage de façon très sommaire, puisque je reviendrai sur leur utilisation, lors de futurs articles. Et tout d’abord, les premiers outils. Peut-être les plus utiles. En tout cas, je le pense ! On les trouve sous divers noms, selon les auteurs : grille, viseur, cadre… J’en décrirai deux variantes que je pense très utiles, voire indispensables pour l’éducation de notre oeil.

 

Viseur dans le rapport de 3 cm x 5 cm

Viseur de 3 cm x 5, divisé aux tiers. Photo : Richard Martens.
Viseur de 3 cm x 5, divisé aux tiers. Photo : Richard Martens.

Le premier viseur que je propose est constitué d’une feuille de rhodoïd collée au dos d’un rectangle de carton. Tout cela peut être du matériel de récupération…

 

Comment fabriquer cela ?

Sur une feuille de… papier, tracez un rectangle de 3 cm par 5. Divisez ensuite chacun des côtés en tiers. Avec une calculette simplement… Après cette divisions aux tiers, sur les petits & les grands côtés, tracez les deux diagonales. Le but ? Avoir une indication du centre de ce rectangle.

Il est important de situer le centre, afin de ne rien mettre d’important sur ce centre ! Je reviendrai sur ce principe…

Ensuite, placez le rhodoïd sur la feuille de papier, et maintenez-le avec du ruban adhésif. Puis tracez, avec un feutre fin indélébile les lignes indiquant les tiers, comme sur la photo ci-contre. Je conseille de tracer en rouge les diagonales. Cela peut être pratique, sans être indispensable…

 

Usage de ce viseur ?

Il sert à « cadrer », à « viser » le sujet qu’on souhaiter dessiner… Ou peindre ! Tel le viseur d’un appareil photo. Cela permet de sélectionner ce qu’on veut « traiter », en omettant tout le reste du… « monde » ! Comme lors d’une prise de vue photographique…

 

Quatre points forts

Le tracé des tiers verticaux & horizontaux nous donne quatre points de croisement. On les appelle des points forts. C’est sur un, deux ou trois de ces points qu’on peut placer un élément important du « sujet » à dessiner.

 

Utilisation des tiers

Il est aussi possible d’utiliser les lignes horizontales pour composer une image agréable à l’oeil. Et répartir les zones de l’image à venir. Par exemple, un tiers inférieur de « terrain », et deux tiers de ciel… S’il est nuageux & beaux. Sinon l’inverse est possible : un tiers de ciel & deux tiers de paysage.

Je développerai plus tard l’usage des points forts & des tiers…

 

Viseur carré de 8 cm de côté

Viseur carré de 8 cm de côté, divisé en huit. Photo : Richard Martens.
Viseur carré de 8 cm de côté, divisé en huit. Photo : Richard Martens.

Le deuxième viseur, qui me semble indispensable lui aussi, est constitué d’un carré de 8 cm de côté.

Carré divisé en huit fois 1 cm.

Je conseille, de plus, de marquer, le milieu de la largeur et de la hauteur, soit par un trait plus épais, soit par un trait d’une autre couleur, rouge par exemple…

Intérêt & usage de ce quadrillage ?

Supposons que le sujet soit plus haut que large… En fermant un oeil, visons en faisant coïncider la partie la plus haute & la plus basse du sujet avec les côtés haut & bas de la grille. Pour cela nous avançons ou reculons la grille jusqu’à obtenir cette double coïncidence.

Puis montons ou descendons le viseur pour faire coïncider, EN PLUS, le côté gauche, par exemple. Ainsi quand le sujet « touche » le viseur sur trois côtés… Cela nous indique le nombre de carrés en largeur ! Puisqu’en hauteur, il y en a huit !

De ce fait, nous savons ainsi quelles sont les rapports, les proportions « largeur-hauteur » du sujet !

Il nous reste à « construire », à dessiner un rectangle d’un trait léger & fin. Que nous pouvons baptiser « cadre de construction » ou « cadre d’enveloppe ». Et dans lequel le sujet va s’inscrire !

Technique de dessin que nous aborderons plus tard…

Et je décrirai aussi, plus tard, un troisième viseur…

Avez-vous des questions ?

Richard Martens

Texte version 2.0

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Livre : Comment dessiner des comics – La méthode Marvel

Pour les amoureux des comics1, ce livre est parfait selon moi pour comprendre les bases de la création des bandes dessinées dans le style “super-héros” de chez Marvel ! Probablement le meilleur ! Et pour cause ! Il est illustré par un excellent dessinateur, un Maitre : John Buscema, récemment décédé, hélas ! Et par le grand maître des scénarii de chez Marvel : Stan Lee, à l’écriture de cet ouvrage.

 

Qui sont les auteurs ? Qu’ont-ils créé ?

Couverture du livre "How to draw Comics - The Marvel way" de John Buscema & Stan Lee.
Couverture du livre « How to draw Comics – The Marvel way » de John Buscema & Stan Lee.

Stan LEE2, le Grand maître de chez Marvel, est le scénariste, co-créateur de Spiderman, des Fantastic Four, du Surfeur d’argent3, de Hulk, de Daredevil & de presque tous les premiers personnages de Marvel éditions.

John BUSCEMA4, extraordinaire dessinateur de personnages, a dessiné le Surfeur d’argent, Conan le Barbare, Wolverine5, les Avengers, Spiderman, Thor & d’autres.

Ils ont réuni leurs talents pour concevoir ce livre. Un guide de bande dessinée qui, au travers de chaque chapitre, montre & explique comment créer vos bandes dessinées de super-héros, à la façon des éditions Marvel.

 

Pictogramme "Point d'exclamation" par Richard Martens.A noter ! Quelques dessins extraits des comics Marvel, & surtout une kyrielle de crayonnés originaux de John Buscema, illustrent chaque étape de la création d’une bande dessinée. Il est assez rare de voir des crayonnés, que ce soit dans la bande dessinée, dans l’illustration ou dans un musée… C’est pourquoi je souligne la chose !

 

Douze chapitre pour tout décrire

Exemple de la méthode de dessin du livre "How to draw Comics - The Marvel way" de John Buscema & Stan Lee.
Exemple de la méthode de dessin du livre « How to draw Comics – The Marvel way » de John Buscema & Stan Lee.

En douze chapitres, MM. Buscema & Lee décrivent toutes les étapes d’une BD :

  1. – les outils, d’abord ;
  2. – le secret des formes, puisque tout peut être ramené à des cubes, des cylindres, des troncs de cônes, etc. ;
  3. – le pouvoir de la perspective ;
  4. – les principes de base de la construction du personnage ;
  5. – le dessin du personnage ;
  6. – comment rendre une figure dynamique à la Marvel (ou à la Buscema !)  ;
  7. – ce qu’est un raccourci ;
  8. – le dessin de la tête (souvent humaine…) ;
  9. – la composition ;
  10. – dessiner une page de “comicbook”, et la concevoir ;
  11. – la couverture de « comicbook” ;
  12. – l’art de l’encrage !

Enfin, le texte de Stan Lee renforce & complète les magnifiques dessins du Maître John Buscema.

 

En résumé de “How to draw comics – The Marvel way”…

Ce livre est, pour moi, le meilleur en matière de super-héros Marvel. Une pléthore de superbes illustrations de John Buscema  & des textes clairs & aidants de Lee.

De plus, cet ouvrage a été traduit récemment en français semble t-il. Celui que je possède est en anglais. Et est tout à fait compréhensible. Surtout si vous voulez travailler votre anglais ! A vous de voir & de choisir…

 

Pictogramme "Information" par Richard Martens.Information : si vous le souhaitez, vous pouvez acheter ce livre, via Amazon.com, en cliquant sur l’une des deux images ci-dessous.

Attention : celle du haut est en français.

Celle du bas est en anglais.

Il va de soi, & c’est mieux en le disant, que si vous l’achetez en cliquant sur l’une ou l’autre de ces photos, cela ne vous coûtera pas plus. et je percevrai un petit pourcentage sur cet achat. Si vous le faite merci d’avance…


 

Références de ce livre

Version française :

BUSCEMA (John) et LEE (Stan), Comment dessiner des comics – La méthode Marvel, éditions Akileos, 2010 (?) 160 p.

 

Attention : ci-dessous, ouvrage en anglais !

BUSCEMA (John) et LEE (Stan), How to draw comics – The Marvel way, New York, éditions Simon et Schuster, 1978, 160 p.

Richard Martens

Texte version 3.0


 Notes

  1. Comics ou comicbook : bandes dessinées Américaines, essentiellement de super-héros. Mais pas seulement… Par opposition à “comic strip” : bande dessinée dans les journaux, en une bande (“strip”) quotidienne.
  2. Stan LEE est co-créateur pour le texte. Le créateur des dessins, donc du visuel des personnages est le très grand Maitre Jack KIRBY. Ce dernier produisait quatre-vingt-dix (90 !) pages par mois avec l’aide d’un assistant ! Steve DITKO est le co-créateur de Spiderman pour le dessin. Et il me semble que ce serait Wallace (Wally) WOOD qui serait le co-créateur des dessins de Daredevil. https://fr.wikipedia.org/wiki/Stan_Lee
  3. Le Surfeur d’argent (en français) : Silver Surfer (en anglais)
  4. John BUSCEMA. Je précis son prénom, car il y a eu un autre Buscema, qui a travaillé pour Marvel : Sal Buscema (qui serait son frère), dont le dessin me semble moins “percutant”, moins puissant. https://fr.wikipedia.org/wiki/John_Buscema
  5. Wolverine : avait été nommé Serval, dans les premières publications en Français. Et pour cause… “Wolverine », en français, signifie “glouton”, un animal peu connu. Assez trapu, de la taille d’un grand chien, et suffisamment dangereux pour, parfois, faire reculer un ours ! Alors que le serval est un félin… Le choix des éditeurs Français… https://fr.wikipedia.org/wiki/Wolverine

Je le redis, OSEZ me dire ce que vous pensez des articles. OSEZ poser des questions. Cela me sera utile pour continuer, si vous me donnez votre avis, si vous faites un commentaire. Merci d’avance… R.M. (:-{D}

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Livre : Colin Hayes, Peindre et dessiner

Le titre complet de ce livre, de Colin HAYES, est : Peindre et dessiner, Le guide complet de toutes les techniques et du matériel. Ce livre est, hélas épuisé. Il explique très clairement des techniques artistiques diverses… Mais, me direz-vous, pourquoi donner un livre épuisé en référence ? Tout simplement parce qu’il est excellent et peut, probablement se trouver en vente en livre d’occasion ou dans une bibliothèque, voire à la Bibliothèque Forney1

 

Couverture du livre de Colin HAYES, "Peindre et dessiner", éditions Elsevier.
Couverture du livre de Colin HAYES, « Peindre et dessiner », éditions Elsevier.

Outre que je trouve ce livre excellent, la caractéristique de cet ouvrage est, qu’il présente, en alternance, une double page en noir & blanc, et une double page en couleurs. Ceci est dû à un procédé d’impression économique, qui consiste à imprimer une face du papier en noir & blanc, pendant que l’autre face est imprimée en quadrichromie (quatre couleurs).

Ensuite, les feuilles sont pliées d’une certaine manière, puis massicotées2.

Ce qui donne l’alternance des doubles pages noires et des doubles pages en couleurs (quadrichromie).

 

Des photos à chaque page

Tous les chapitres sont abondamment illustrés de reproductions photographiques. Et il y en a à chaque page. Vous trouverez tout à la fois :

  • des objets (le matériel artistique) ;
  • des façons de procéder (coup de main, manière de faire) ;
  • des reproductions d’oeuvres d’art.

 

Douze techniques artistiques

Détail de la couverture du livre de Colin HAYES, "Peindre et dessiner", éditions Elsevier.
Détail de la couverture du livre de Colin HAYES, « Peindre et dessiner », éditions Elsevier.

Colin HAYES traite de douze techniques artistiques. Bien évidemment les classiques, comme :

  • la peinture à l’huile ;
  • la gouache ;
  • l’aquarelle ;
  • l’acrylique ;
  • etc.

Et également des techniques peu décrites, comme :

  • la détrempe (peinture à l’oeuf) ;
  • la peinture murale ;
  • la fresque ;
  • etc.

En résumé , je recommande vivement de le rechercher

Il est donc très complet dans ses descriptions & dans ses reproductions. Et l’écriture en est simple et parfaitement claire. Pour les autodidactes, c’est un ouvrage idéal. Heureusement, ce n’est pas le seul. Même si c’est assez rare pour que je recommande vivement sa recherche !


 

Références de ce livre

HAYES (Colin), Peindre et dessiner, Le guide complet de toutes les techniques et du matériel, éditions Elsevier, Bruxelles, 1980, 224 p.

Richard Martens

Texte version 2.0


Notes

Comme d’habitude, voici le lien de l’article, au cas où il serait brisé dans le corps de l’article… Si c’est le cas, il vous suffit de faire un copier-coller du lien ci-dessous, et de le coller dans la barre de votre navigateur…

  1. Bibliothèque Forney, bibliothèque des arts et techniques graphiques – 1, rue du Figuier – 75004 Paris. – Métro : Pont Marie (ligne 7) – Bus : 67. La bibliothèque est située dans l’ancien hôtel des archevêques de Sens. Téléphone : 01 42 78 14 60. Adresse de courriel : bibliotheque.forney@paris.fr – http://equipement.paris.fr/bibliotheque-forney-18
  2. Massicoter : verbe. Imprimerie, reliure : couper (le papier) à l’aide d’un massicot. Dictionnaire Antidote.
  3. Massicot, n. m. : reliure. Machine destinée à couper les feuilles de papier ou a rogner la tranche des livres.

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