Decalquer un dessin – 3

Les étapes pour décalquer un dessin sont les mêmes que la façon traditionnelle de décalquer.

Avec l’utilisation du calque-carbone, il n’y a pas à noircir le dos du calque. Ce qui fait gagner une étape ennuyeuse.

De plus, dans cet article, je vous donne aussi quelques astuces au sujet des crayons utilisés pour décalquer…

 

Quatre « objets » pour décalquer !

Figure 1. Matériel pour décalquer : dessin (ou photo), calque-carbone, feuille vierge, crayon dur ou stylet. Photo : ©Richard Martens.
Figure 1. Matériel pour décalquer : dessin (ou photo), calque-carbone, feuille vierge, crayon dur ou stylet. Photo : ©Richard Martens.

Pour décalquer, quatre “objets” sont nécessaires :

  1. un dessin à décalquer, ce qui est une évidence ;
  2. notre calque-carbone ;
  3. la feuille vierge qui recevra l’encrage ou la peinture finale ;
  4. un crayon dur ou un stylet1.

Voyons maintenant un peu plus en détail… Ainsi que leur utilisation !

 

Quatre types d’outils pour décalquer

Figure 2 : quatre types de stylets ou de crayons. Photo : ©Richard Martens.
Figure 2 : quatre types de stylets ou de crayons. Photo : ©Richard Martens.

En guise d’objet pour décalquer, le plus connu est, bien sûr, le crayon ! Crayon graphite2 dont j’ai déjà parlé ailleurs. Cependant, il y a d’autres outils. Voyons-en la liste. Quatre sortes selon moi :

  1. le crayon graphite en bois, si possible en 3 ou 4H ou plus “dur” (5H, voire 6H ou 7H) ;
  2. le porte-mine (Critérium, etc.), y compris ceux qui utilisent des mines en 0,5 mm ;
  3. le stylet1 pour pratiquer le “métal à repousser” ;
  4. le stylet à fabriquer soi-même (tige métallique montée sur un manche en bois).

Je ne traiterai pas du crayon graphite, puisque j’ai déjà écrit là-dessus2. De même pour le porte-mine…

Stylet : qu’est-ce que c’est ? Comment en obtenir ?

Un stylet est donc une tige métallique.

Deux avantages du stylet

Car l’intérêt d’un stylet, c’est qu’il est inusable “face au papier”. Je devrai écrire : “contre le papier” ! De ce fait, il n’y a pas à l’affûter régulièrement.

Et reporter un dessin avec cette “mine” crée un report… fin ! Car le second avantage du stylet, c’est que son tracé est fin.

Stylet improvisé avec un porte-mine

Cependant, il est à noter que, parfois, une fine tige métallique est fournie avec le porte-mine en 0,5 mm. Parfois enfoncée dans la gomme, à l’autre extrémité de l’outil. Cela peut servir à ôter une mine cassée dans l’outil. Dont du même diamètre : 0,5 mm. Si on entre cette tige dans le porte-mine, à la place de la mine, en émoussant, avec un papier abrasif fin, “spécial métal”, on obtient un stylet. Donc une mine inusable !

Qu’est-ce qu’un stylet pour métal à repousser ?

Il existe, dans le commerce, des stylets à double “pointe” pour métal à repousser. Chacun étant terminé par une boule de diamètre différent (voir la figure 2). Donc deux tailles différentes par stylet. Le but, l’usage de ces stylets est de frotter le dos d’une feuille métallique spécialement traitée pour être facilement emboutie, creusée. Ainsi en retournant la feuille, nous obtenons un relief. D’où le nom du support : “métal à repousser”. C’est utilisé pour faire des décorations métalliques, en imitation de certains décors moyenâgeux, par exemple… Pour décorer des boites, des plats de couvertures de livres, etc.

Il est donc possible de détourner ces stylets pour décalquer

Comment fabriquer un stylet ?

Enfin, il est possible d’enfoncer la pointe d’une aiguille à coudre dans une tige en bois. Puis de couper,  avec une tenaille, le chas3 de l’aiguille. Attention à détourner la tête, afin de ne prendre aucun risque au moment de couper le chas… Ensuite, avec une pierre au carborundum4, on ponce la brisure. Enfin, on finit de polir avec une pierre à huile.

Ou bien on achète un stylet tout prêt, dans le commerce !

 

Un dessin à reporter

Figure 3 : dessin original de Richard Martens, sur bloc sténo en format A5. Photo et dessin : ©R. Martens.
Figure 3 : dessin original de Richard Martens, sur bloc sténo en format A5. Photo et dessin : ©R. Martens.

Ensuite, il faut, évidemment un dessin à reporter. Ici, pour cet article, j’ai choisi un dessin, un portrait, que j’ai réalisé au stylo à bille bleu, en février 2014, sur un carnet en format A5. Un bloc sténo, pour être plus précis.

Et il est important, avant d’aller plus loin, de décider de ce qu’on va faire au final ? Sera-ce pour un encrage ou pour une peinture ? Car en fonction de l’objectif (encrage, peinture, etc.) et de la technique utilisée (aquarelle, acrylique, etc.), le choix du papier va en découler.

Un papier plutôt épais (200, voire 250 à 300 g/m2) est souhaitable pour les produits à l’eau, comme le lavis, l’aquarelle, la gouache, l’acrylique…

Un papier moyen (120 à 150 g/m2) sera utilisé pour un encrage à l’encre de Chine, à la plume ou au pinceau.

Un papier léger, de 90 à 120 g/m2 sera utilisé pour les produits « secs » : crayon graphite, mine de plomb, fusain, pierre noire et craie blanche, sanguine, pastel, etc.

 

Trois couches pour décalquer

Figure 4 : comment décalquer ? Technique : étape 1. Photo : ©Richard Martens.
Figure 4 : comment décalquer ? Technique : étape 1. Photo : ©Richard Martens.

Passons maintenant à l’opération “décalquer” proprement dite.

Quand on utilise un calque-carbone, il y a trois couches… Soit, à partir du haut :

  1. le dessin à reporter (noté “1” sur la Figure 4, photo ci-dessus), c’est-à-dire à décalquer, au dessus ;
  2. le calque-carbone, au dessous (noté “2” sur la photo), donc au milieu des trois feuilles ;
  3. le support final, c’est-à-dire le papier de qualité (noté “3” sur la photo) sur lequel on va peindre ou encrer, est placé en dessous.

Ici, j’ai soulevé la feuille du carnet de croquis (noté “1. Dessin”). J’ai placé en dessous le “2. Calque-carbone”, FACE CRAYONNÉE VERS LE BAS. Et encore plus en dessous, j’ai placé le support final, un papier de qualité, noté “3. Feuille vierge”.

 

Les quatre objets en action pour décalquer

Figure 5 : comment décalquer ? Technique : étape 2. Photo : ©Richard Martens.
Figure 5 : comment décalquer ? Technique : étape 2. Photo : ©Richard Martens.

Après avoir placé les feuilles dans le bon ordre, il suffit maintenant d’utiliser un crayon graphite dur ou un stylet (sur la photo, figure 5, noté en  rouge « 4 » et en vert “Stylet ou crayon”), et de repasser TOUS les traits du dessin. Pas nécessairement les hachures, et les effets d’ombres…

 

La vérification indispensable !

Figure 6 : comment décalquer ? Technique : étape 3. Photo : ©Richard Martens.
Figure 6 : comment décalquer ? Technique : étape 3. Photo : ©Richard Martens.

Que signifie “Vérification indispensable” ? Simplement de soulever TOUT À LA FOIS, le dessin et le calque-carbone, pour voir, vérifier si le dessin est bien reporté sur la feuille vierge tout simplement !

 

Deux “risques” de ne pas arriver à décalquer !

Il y a deux risques de ne pas réussir à décalquer, ou à le faire partiellement :

  1. en effet, il peut parfois arriver que, par étourderie, la face “carbone” du calque-carbone soit placé face en haut ! Donc la feuille vierge le restera… vierge !
  2. ou bien, il arrive que le calque-carbone soit plus petit que le dessin à reporter. Et qu’on oublie de le déplacer au fur et à mesure… Donc report partiel !

 

Comparaison : l’original & le report

Figure 7 : comment décalquer ? Technique : étape 4. Photo : ©Richard Martens.
Figure 7 : comment décalquer ? Technique : étape 4. Photo : ©Richard Martens.

Sur cette dernière photo (figure 7), nous pouvons voir le début du résultat :

  • à droite un détail du dessin noté “1. Dessin original” ;
  • à gauche le début du report, noté sur la photo “2. Dessin décalqué”.

Voilà en résumé la technique pour décalquer, avec un calque carbone.

Sinon, je le rappelle, le procédé classique pour décalquer (développé lors du 1er article)5 implique qu’il faille frotter au dos (le verso) du dessin (ou du calque supportant le dessin original) sur l’ensemble de TOUS les traits du dessin. Et tout tracer à nouveau au recto au moment du report ! Trois étapes !

 

Merci de commenter et/ou de questionner. Que pensez-vous de ce principe ? Cet article est-il explicite et utile ?

Richard Martens

Texte version 2.0, pour cause de piratage/sabotage. Et restauration…


 Notes

Comme d’habitude, voici les liens de l’article, au cas où ils seraient brisés dans le corps de l’article… Si c’est le cas, il vous suffit de faire un copier-coller de l’un des liens ci-dessous, et de le coller dans la barre de votre navigateur…

  1. Stylet, n. m. Antiquité – Instrument métallique effilé utilisé pour écrire sur les plaquettes de cire. Dictionnaire AntidoteStylet : nom masculin. Petite tige métallique fine, rigide ou flexible, à pointe émoussée, d’usage chirurgical. Dictionnaire Larousse.
  2. Article sur le “crayon graphite” : https://apprenons-dessin-et-peinture.fr/le-crayon-graphite/
  3. Chas, n. m. Trou d’une aiguille, par où passe le fil. Dictionnaire Antidote.
  4. Carborundum, n. comm. m. Marque de commerce relative à du carbure de silicium utilisé comme abrasif. Dictionnaire Antidote.
  5. Le procédé classique pour décalquer : https://apprenons-dessin-et-peinture.fr/decalquer-un-dessin-1/

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Decalquer un dessin – 2

Comme je l’ai annoncé, il y aura trois parties consacrées à ce sujet :

  • Une 1re partie : pourquoi et comment décalquer ? Méthode ancienne, simple et classique, que j’ai déjà rédigé, et qui reste d’actualité.
  • Une 2e partie : ma méthode favorite pour décalquer, en “fabriquant” un “calque-carbone”. Méthode que je développe ci-après…
  • Et enfin une 3e partie qui montrera l’utilisation de mon “calque-carbone”, en manière de démonstration.

On peux se poser la question de savoir si ce “calque-carbone est pratique ? Et présente t-il un avantage par rapport à la méthode traditionnelle ? Pour répondre à cela, voyons d’abord en quoi cela consiste…

 

Comment obtenir un calque-carbone ?

Pour réaliser un calque-carbone, il suffit de :

  1. couvrir la surface d’une feuille de calque, avec un crayon ! Je conseille quatre passages : un horizontal, un vertical et deux passages parallèles aux deux diagonales. Afin de bien noircir la surface ;
  2. laisser une marge tout autour de la feuille ;
  3. noter ce qui est le recto, si on suppose que c’est le verso qui est couvert par le crayon ;
  4. noter le type de crayon.

Voyons tout cela en détail…

 

Pourquoi laisser une marge tout autour du calque-carbone ?

Figure 1. Calque-carbone réalisé au crayon noir Polychromos. Photo : ©Richard Martens.
Figure 1. Calque-carbone réalisé au crayon noir Polychromos. Photo : ©Richard Martens.

Laisser une marge tout autour permet de pouvoir saisir le calque-carbone sans se salir les mains… tout simplement !

Ici, le calque-carbone a été recouvert par du crayon de couleur noir Polychromos de Faber Castell.

Pourquoi du crayon de couleur noir plutôt qu’un crayon graphite ? Pour cette marque (Polychromos), il s’agit d’un noir qui est mat, contrairement au crayon graphite qui a un aspect métallique.

Cependant, j’ai aussi réalisé plusieurs calques-carbones avec du crayon graphite. Voyons pourquoi dans la suite de cet article…

 

Pourquoi plusieurs calques-carbones ?

J’en ai fait :

  • avec des duretés de crayons différentes (HB, 2H, Polychromos) ;
  • dans des formats différents (A4, A5, voir A6).
  • avec quatre couleurs différentes : noir, rouge, bleu, blanc.

Pourquoi ? Tout simplement :

  • selon le type de papier : carte à gratter, carton, papier kraft, papier teinté, papier pour l’aérographe, etc. ;
  • selon la taille de la future peinture ou du futur dessin ;
  • selon le genre. Explications sur le genre…

Quoi pour quel genre ?

Le genre, pour moi, signifie la destination « finale » : dessin, peinture…

J’indique, ci-après, avec le « genre », le type de crayon que j’utilise pour fabriquer un « calque-carbone », pour :

  • un dessin sur papier. Dans ce cas, j’utilise le crayon graphite ou le crayon noir Polychromos ;
  • un dessin sur carte à gratter. Pour la carte blanche : j’utilise un calque avec du bleu ou du noir. Pour la carte noircie à l’encre de Chine : j’utilise le Polychromos blanc ;
  • une peinture à l’aquarelle, le crayon graphite est le plus adapté, selon moi ;
  • une peinture acrylique, plutôt du Polychromos, qui « accroche bien sur l’acrylique. Donc noir sur fond clair, ou blanc sur fond foncé…

Vous aurez compris qu’il est important de s’adapter, selon le support (papier, toile, etc.) et la technique (plume et/ou pinceau avec encre de Chine, aquarelle, acrylique, etc.)

 

Pourquoi noter le type de crayon ? Et donc le recto ?

Figure 2. Un "calque-carbone" avec l'indication du crayon et de sa dureté. Photo : ©Richard Martens.
Figure 2. Un « calque-carbone » avec l’indication du crayon et de sa dureté. Photo : ©Richard Martens.

Je note toujours au recto du calque le type de crayon. Et sa dureté (ici,ci-contre, figure 2 : « crayon graphite 2H »).

Ainsi, je sais tout de suite :

  • que le verso (l’autre face du calque) est la surface couverte de crayon ;
  • quelle est la dureté du crayon.

À NOTER que la dureté est “réduite” sur un calque. Ainsi le “2H” semble plus gras sur du calque que sur du papier.

 

Comment protéger les calques-carbones ?

Figure 3. Des "calques-carbones" annotés et rangés dans une pochette au format A4. Photo : ©Richard Martens.
Figure 3. Des « calques-carbones » annotés et rangés dans une pochette au format A4. Photo : ©Richard Martens.

Je conseille de protéger les calques-carbones en les mettant simplement dans une “pochette” en plastique de format A4 (photo, figure 3).

Ainsi, tous les formats égaux ou inférieurs au format A4 (21 x 29,7 cm) peuvent y rentrer.

C’est simple, pratique et économique.

Et nous pouvons le ranger dans un classeur… Ou pas !

Ceci est une façon simple de les ranger et de les protéger…

Il y a une autre façon de faire ! Que j’explique maintenant…

 

Variante pour une auto-protection du calque-carbone ?

Figure 4. Une feuille de "calque-carbone" pliée en deux, avec une moitié protégeant l'autre. Photo : ©Richard Martens.
Figure 4. Une feuille de « calque-carbone » pliée en deux, avec une moitié protégeant l’autre. Photo : ©Richard Martens.

J’ai aussi conçu un calque-carbone auto-protecteur.

J’ai pris un calque deux fois plus grand que ce que je veux obtenir : pour avoir un calque-carbone A4 (21 x 29,7 cm), j’ai pris un calque en A3 (29,7 x 42 cm), que j’ai plié en deux.

Ensuite, j’ai noirci la partie intérieure gauche du calque, en laissant une marge (cf. la photo figure 4).

Puis, j’ai replié le calque. Le frottis est protégé !

Enfin, j’ai noté le type de crayon et sa dureté (cf. “3H”, figure 2 & 4).

 

Pourquoi des calques-carbones de couleur ?

Des "calques-carbones" de couleurs, réalisés aux crayons de couleurs. Photo : ©Richard Martens.
Des « calques-carbones » de couleurs, réalisés aux crayons de couleurs. Photo : ©Richard Martens.

Comme je l’ai expliqué plus haut, j’ai aussi créé du calque-carbone :

  • noir bien sûr !
  • blanc (pour les fond sombres ou noirs) ;
  • rouge ;
  • bleu ;
  • bleu pâle (invisible en photocopies noir & blanc).

Ce dernier bleu (pâle) permet de décalquer sans avoir à gommer quand il s’agit d’une réalisation en noir et blanc (style BD). car il s’agit d’un bleu invisible à la photocopie en noir et blanc…

 

Comment protéger les calques-carbones de couleur ?

Des "calques-carbones" de couleurs, annotés et rangés dans une pochette au format A4. Photo : ©Richard Martens.
Des « calques-carbones » de couleurs, annotés et rangés dans une pochette au format A4. Photo : ©Richard Martens.

La protection est la même que pour les calques-carbones noirs : une pochette en plastique destinée à du papier en format A4.

Je conseille d’avoir – au moins – deux pochettes différentes :

  • une pour le noir (graphite et couleur noire)
  • une pour les calques-carbones de couleur blanche, rouge, bleus.

Pour du A3, il est possible de plier la feuille en deux… Personnellement, je n’utilise pas de A3. pour des dessins ou des peintures de formats plus grands que A4, je me contente de déplacer le calque-carbone choisi…

 

Méthode pour décalquer plus efficace ?

Calque-carbone réalisé au crayon graphite. Photo : ©Richard Martens.
Calque-carbone réalisé au crayon graphite. Photo : ©Richard Martens.

On peut se demander en quoi ce type de carbone est-il plus efficace que la simple feuille de calque, utilisée comme je l’ai expliqué dans le premier article ?

Le calque-carbone est doublement efficace.

Il est efficace en terme de :

  • gain de temps ;
  • gain d’effort.

Soyons un peu plus explicite ! Voyons cela ci-dessous…

Efficace en gain de temps

En effet, la méthode classique (cf. le précédent article1) implique de copier trois fois le dessin à reporter :

  1. calquer le dessin une première fois (recto) ;
  2. noircir le dos, ou repasser tous les traits (verso) ;
  3. décalquer le dessin (recto) en le reportant sur un nouveau support.

Avec un calque-carbone, il n’y a pas à effectuer l’étape 2. Car il suffit de glisser le carbone SOUS le calque à reporter. Donc un gain de temps !

Et si on réalise le dessin final directement sur un calque, on gagne aussi l’étape 1 !

Efficace en effort

Le calque-carbone est efficace en effort, puisqu’il n’y a pas à tracer trois fois. Seulement deux fois… Voire une fois seulement, si  le dessin définitif est réalisé sur… calque !

 

À suivre… Avec une explication-démonstration lors du 3e article…

Osez faire des commentaires. Et merci de le faire…

 

Richard Martens

Texte version 2.0, restauration et remise en « forme », pour cause de piratage dévastateur.


Note

Comme d’habitude, voici le lien de l’article, au cas où il serait brisé dans le corps de l’article… Si c’est le cas, il vous suffit de faire un copier-coller du lien ci-dessous, et de le coller dans la barre de votre navigateur…

  1. Précédent article : //apprenons-dessin-et-peinture.fr/decalquer-un-dessin-1/

 

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