Pierre noire – Craie blanche – 2

Ainsi que je l’ai écrit dans le précédent article, nous allons voir ici les deux façons d’utiliser une pierre noire1 (ou une sanguine), avec une craie blanche :

  • soit à la manière des deux crayons ;
  • soit à la manière des pastels.

Voyons cela avec explications et illustrations…

 

Deux utilisations comparées de la pierre noire et de la craie blanche sur papier teinté

J’ai placé, en regard de ce texte, un fichier « gif » animé, plutôt que deux fichiers « jpg ». Afin de faire ressortir la différence entre les deux manières d’utiliser les deux « crayons ».

Nous pouvons voir, à gauche de la photo au format « gif », la première façon d’utiliser les bâtons :

1. – À la manière des deux crayons

Cela implique que la teinte/valeur du papier participe de la gamme des gris. Par exemple, le papier kraft, ou ici le papier recyclé brun correspond à peu près au gris moyen. Donc, à gauche, une partie de la gamme des gris (rectangle rouge) est purement et simplement la couleur du papier !

Pierre noire et craie blanche utilisées en manière des deux crayons : la couleur/valeur du papier participe de la gamme des gris. Photos : R. Martens.
Pierre noire et craie blanche utilisées en manière des deux crayons : la couleur/valeur du papier participe de la gamme des gris. Photos : R. Martens.

La gamme de gris de gauche est  noté en dessous : « P.N. & C. Bl. ». Ce qui signifie : « pierre noire et craie blanche », bien sûr.

Et, toujours sur la même image, à droite, nous voyons la seconde façon d’utiliser les bâtons :

2. – À la manière des pastels

Dans cette technique, pour obtenir des nuances de gris, la pierre noire et la craie blanche se superposent, de telle manière que la teinte du papier n’apparaît plus.

 

Le choix du papier pour la première manière, dite des deux crayons (ou aux trois), à la façon de la Renaissance

Papier ocre jaune. DR
Papier ocre jaune. DR

Le premier principe consiste donc, d’abord, à utiliser un papier teinté.

Papier teinté qui ne soit pas noir ou proche du noir ! Et qui ne soit pas blanc ! Ni, bien sûr, trop pâle, proche du blanc.

Pourquoi ? c’est évident :

  • sur un fond blanc ou très clair, on ne voit pas (ou très mal) la craie blanche !
  • sur un fond noir ou très sombre, on ne voit pas (ou très mal) la pierre noire !
Carton d'emballage. DR
Carton d’emballage. DR

Dans la technique des deux crayons, comme on doit considérer le fond comme une valeur intermédiaire entre le noir et le blanc, il y a donc beaucoup de choix.

Le choix est tout à la fois celui de la texture (lisse, à grain, vergé, froissé, etc.), et celui de la couleur et de sa valeur :

  • papiers recyclés de diverses marques ;
  • partie intérieure des cartons de récupération des emballages alimentaires ;
  • carton d’emballages divers (type carton ondulé par exemple) ;
  • papier kraft brun, voire brun rouge, bleu, etc. ;
  • papier mi-teinte Canson ;
  • papier vergé Ingres École ;
  • etc.
Papier ocre rouge. DR
Papier ocre rouge. DR

Un papier bleu nuit, par exemple, sera considéré comme un gris foncé. Un fond brun, genre « papier kraft », sera considéré comme un gris moyen. Un papier brun rouge ou « brique » peut, lui aussi, être assimilé à un gris foncé

 

…Car le papier reste visible par endroits !

Dégradé à la manière des deux crayons : la teinte du papier participe du dégradé.
Dégradé à la manière des deux crayons : la teinte du papier participe du dégradé.

Pour mémoire, à partir du modèle observé, tout ce qui correspond au « gris » du papier ne recevra ni noir, ni blanc. Comme sur la gamme de gris de la photo du début d’article (partie encadrée en rouge). Photo que j’ai remise ici…

Donc, c’est « impératif » dans cette technique, le noir et le blanc ne se mélangeront jamais. Ne se superposeront jamais !

Cette technique est celle utilisée par Jean Clouet2 et François Clouet3, comme pour le portrait en ouverture du précédent article. Ainsi que les artistes de la Renaissance.

 

Un exemple de dessins animalier aux deux crayons

Dessins d'un varan des sables aux deux crayons sur papier gris bleu, par Richard Martens,
Dessins d’un varan des sables aux deux crayons sur papier gris bleu, par Richard Martens,

Technique

Pour le support du dessin, il s’agit d’un carnet à spirale au format A4 (environ 21 x 29,7 cm), constitué de pages grises, légèrement veloutées, pour pastel, pierre noire, etc.

Lieu du dessin

Ce varan des sables était dans un des vivariums de la « Ménagerie » du « Jardin des plantes », à Paris.

L’avantage des animaux à sang-froid, c’est qu’ils restent longtemps dans la même position… C’est, parfois aussi un inconvénient… Car les « poses » varient peu !

Il va de soi que, face « au vivant » – sauf s’il s’agit d’un modèle professionnel –, nous ne sommes jamais  sûr de pouvoir finir le dessin. C’est ici le cas, dans le bas de la page.

Étapes des dessins

Pour dessiner l’animal, j’ai commencé par utiliser la pierre noire…

Pour ce genre d’études, comme quand je dessine face à la télévision, je commence plusieurs dessins sur la même page, au fur et à mesure que le modèle change de position. Si le modèle (involontaire) « vivant » reprend une des « poses » antérieures, je poursuis le dessin commencé. Sinon, il reste inachevé… C’est la loi du genre !

Détail de dessins d'un varan des sables aux deux crayons sur papier gris bleu, par Richard Martens,
Détail de dessins d’un varan des sables aux deux crayons sur papier gris bleu, par Richard Martens,

Je poste un agrandissement d’une partie de cette page, afin de bien montrer que le noir et le blanc ne sont pas superposés. Même si parfois ces « couleurs » sont à la limite de se toucher. Et laissent, de ce fait, peu de place à la « couleur » de la feuille.

Après avoir dessiné avec la pierre noire (donc des traits), je « noirci » les zones correspondantes aux gris foncés.

Puis je place les hautes lumières, via la craie blanche… Parfois je finis avec des touches d’acrylique blanc au pinceau, ou de stylo gel blanc.

 

La seconde manière montrant l’utilisation de la pierre noire et de la craie blanche comme du pastel

Dégradé à la manière des pastels : la teinte du papier n'apparait plus sous le dégradé.
Dégradé à la manière des pastels : la teinte du papier n’apparaît plus sous le dégradé.

Pour mémoire, quand on « pastellise », la « couleur » du papier n’apparaît plus.

Là où on observe du blanc ou du noir sur le « modèle », les bâtons sont utilisés « purs ». Là où il y a des nuances de gris : clair, moyen ou foncé, il y a obligatoirement, dans cette technique, superposition et mélange du noir et du blanc !

Technique

Selon que le gris paraît clair ou foncé, cela implique de passer d’abord le blanc ou le noir. Puis de poser l’autre bâton. Qui, en frottant, fait un peu office d’estompe

Si l’ensemble parait s’éloigner de la valeur souhaitée, il suffit de frotter, à nouveau, avec l’autre bâton ! En alternant l’usage des deux « crayons », jusqu’à obtention de la valeur désirée…

Le papier est toujours recouvert et donc invisible !

Dans la « pastellisation » aux deux crayons, parfois certains dessinent sur du papier noir. C’est une question de goût… Sachant qu’il sera recouvert par la matière. Puis fixé ! C’est toujours ce même principe : recouvrir le papier, de cette matière opaque qu’est le noir ET le blanc.

 

Un portrait montrant l’utilisation de la pierre noire et de la craie blanche comme du pastel.

Portrait d'homme avec pierre noire et craie blanche, en manière de pastel, par Richard Martens.
Portrait d’homme avec pierre noire et craie blanche, en manière de pastel, par Richard Martens.

Il y a quelque temps, j’ai écris, sur un autre blogue, un article à propos d’un portrait ancien, réalisé aux deux crayons. Et utilisés comme du pastel4.

Le portrait que j’ai placé sur cet article, titré “Portrait d’homme-0001”, relève donc de cette technique de « pastellisation ».

Je le mets en « version miniature » ci-contre… Je vous invite à aller le voir de près, en plus grand, bien sûr …

P.-s. : au fait, ce portrait a été réalisé sur le même type de papier A4 que pour le varan des sables, ci-dessus…

 

Les deux crayons : un mélange des genres

Pour la revue « Union », j’ai illustré un article sur les parfums, au siècle dernier. J’adore placer cette expression : « au siècle dernier ». J’ai en effet la chance de pouvoir le dire et l’écrire !

J’ai employé la technique des deux crayons pour le corps. Et j’ai « pastellisé » la tête…

Illustration d'une jeune femme imaginaire, pour la revue "Union", par Richard Martens. Réalisée avec pierre noire et craie blanche.
Illustration d’une jeune femme imaginaire, pour la revue « Union », par Richard Martens. Réalisée avec pierre noire et craie blanche.

La consigne, verbale, donnée par la revue, était : « Si vous n’avez pas d’idée, ce n’est pas grave. L’important, c’est que la jeune femme soit… « plaisante » » ! Je vous épargne le vrai mot employé…

Technique

L’illustration devait être réalisée en noir et blanc, pour être imprimée en bichromie.

Le papier employé est un « Ingres École » vergé.

Les touches très blanches sur le visage (un éclat sur la lèvre inférieure, sur le bout du nez et le blanc des yeux) sont faites au pinceau, à la peinture acrylique blanche.

Ci-dessous, voici un très gros plan du visage, afin de vous montrer le « côté pastel », la texture du papier, et les touches de blanc au pinceau…

Gros plan de l'illustration d'une jeune femme imaginaire, pour la revue "Union", par Richard Martens. Réalisée avec pierre noire et craie blanche.
Gros plan de l’illustration d’une jeune femme imaginaire, pour la revue « Union », par Richard Martens. Réalisée avec pierre noire et craie blanche.

Concernant la « ressemblance » du visage de la jeune femme, c’est d’autant plus amusant, qu’on m’a, plusieurs fois, demandé les coordonnés de la demoiselle. Et j’ai expliqué qu’en fait, ce portrait est imaginaire. Car j’ai dessiné ce visage sans avoir de modèle…

 

À propos de la sanguine…

 Vraie pierre sanguine ancienne. Photo : Richard Martens.
Vraie pierre sanguine ancienne. Photo : Richard Martens.

Dans ce même article, « Portrait d’homme-0001″, auquel j’ai fait référence ci-dessus, j’ai mis la photo d’un bâton de sanguine très ancienne. Probablement plus âgée que moi. Qui m’a été offert il y a des années… Et qui présente plein de « gravillons », qui crissent quand je l’utilise. Je poste ici un fort agrandissement du bout de la pierre sanguine. Pleine de creux, de bosses, et « d’impuretés »…

Soyez rassuré ! Cela n’arrive absolument pas avec les « pierres » qu’on peut acheter dans le commerce actuellement : la sanguine, la pierre noire, la craie blanche, etc. C’est au moins un avantage.

 

Pensez à fixer le dessin !

Pictogramme orange sur fond bleu d'un "Point d'exclamation" par Richard Martens.Attention, je le rappelle, il est impératif de bien fixer le dessin, comme pour le fusain ! Avec du fixatif, bien sûr ! Et non de la laque pour les cheveux, comme je l’ai parfois vu faire !

 

Allez-vous vous « lancer » dans cette approche ? Si oui, dans quelle manière ? Merci de me le dire ci-dessous…

Richard Martens (;-{D}

Texte version 2.0, pour cause de refonte post-piratage.


Notes

Comme d’habitude, voici les liens de l’article, au cas où ils seraient brisés dans le corps de l’article… Si c’est le cas, il vous suffit de faire un copier-coller de l’un des liens ci-dessous, et de le coller dans la barre de votre navigateur…

  1. Pierre noire, l’article de Wikipédia : https://fr.wiktionary.org/wiki/pierre_noire (dessin)
  2. Jean Clouet : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Clouet
  3. François Clouet : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Clouet
  4. Adresse de l’article sur mon autre blogue pour voir le portrait « pastellisé » et/ou une sanguine ancienne : richard-martens-peintre-illustrateur.com/portrait-homme-0001/

Pierre noire – Craie blanche – 1

La question m’a été posée : – « Qu’est-ce qu’une pierre noire1 ? ».

La pierre noire est un produit naturel « sec », qui se présente sous la forme de bâton. C’est aussi le cas de la craie blanche et de la sanguine. À ce type d’outils s’ajoute aussi : sépia et bistre. Ces cinq bâtons, sont, selon moi, tout à la fois les « ancêtres » du crayon ET du pastel.
Voilà donc une réponse… Et tout d’abord, très brièvement, un peu d’histoire de l’art…

 

Dessin aux deux crayons, ou aux trois crayons, à la Renaissance

Portrait aux deux crayons (pierre noire et sanguine) de Francois Ier, de Cleves, Duc de Nevers, par François Clouet.
Portrait aux deux crayons (pierre noire et sanguine) de Francois Ier, de Cleves, Duc de Nevers, par François Clouet.

Historiquement, à la Renaissance, on parle beaucoup de dessin aux deux crayons, ou de dessin aux trois crayons.

Pour les deux crayons, il s’agit – très souvent – de la pierre noire et de la craie blanche, ou de la pierre noire et de la sanguine, comme pour ce portrait.

Pour les trois crayons, il s’agit surtout de la pierre noire, de la craie blanche et de l’une des trois autres pierres.

Parfois – pour Michel-Ange ou Watteau – il s’agit de la sanguine et de la craie blanche. Voire seulement de la sanguine pour Michel-Ange.

Le portraitiste le plus connu pour ses crayons, en France, à la Renaissance, était Jean Clouet, puis son fils, François Clouet. À l’époque de Henri II, l’épouse du roi, Catherine de Médicis collectionnait les « Clouet », c’est-à-dire les dessins de Clouet ! Le Musée Condé de Chantilly possède la quasi totalité de cette magnifique collection…

 

Qu’est-ce que la pierre noire ? Comment se présente t-elle ?

Pierre noire en bâton dont la base est un carré.
Pierre noire en bâton dont la base est un carré. Photo : R. Martens.

Pour d’autres explications , je vous renvoie à l’article de Wiktionary1. Je vais, ici, traiter de l’aspect pragmatique de la pierre noire.

Donc, de façon simple ET pragmatique, la pierre noire est un bâton de base carrée (photo ci-contre, dans sa boîte en carton). Ce bâton existe aussi en bâton à base ronde (cylindrique).

Elle génère, par frottement à sec, un noir velouté.

Je conseille vivement le bâton à base carrée, car… il ne roule pas ! La matière des deux types de bâtons est la même.

Craie blanche en bâton dont la base est un carré. Photo : R. Martens.
Craie blanche en bâton dont la base est un carré. Photo : R. Martens.

Le seul intérêt du bâton cylindrique, c’est de ne pas se salir les mains… À condition d’utiliser un porte-mine adapté au diamètre du cylindre !

Voyons cela en photos. Ci-après, sur une première photo d’ensemble. Pour avoir une vision globale !

Puis la même photo, avec des textes pour que cela soit vraiment parlant…

 

Pierre noire, craie blanche, sanguine et porte-mine

Ensemble de pierre noire, craie blanche, sanguine, et porte-mine. Photo : R. Martens.
Ensemble de pierre noire, craie blanche, sanguine, et porte-mine. Photo : R. Martens.

Voici donc la première vision globale. Pourquoi deux fois la même photo ? Simplement parce que certains détails peuvent être masqués par les textes sur la photo suivantes. Ainsi, nous pouvons toujours revenir à celle ci-dessus, si nous en avez besoin…

 

Ensemble de pierre noire, craie blanche, sanguine, et porte-mine, avec annotations. Photo : R. Martens.
Ensemble de pierre noire, craie blanche, sanguine, et porte-mine, avec annotations. Photo : R. Martens.

Vous pouvez donc voir les deux porte-mines que j’ai cerclé en rouge épais pour montrer les mines noire et blanche.

Comme nous pouvons le voir, pour les boîtes de bâtons, il y a ici deux marques : « Faber Castell » et « Conté »…

Il est possible que vous ne trouviez plus ce type de boites. Car toutes datent du dernier quart du XXe siècle ! Et pour les Faber Castell, elles datent des années 60 et viennent d’Allemagne ! Car à cette époque, je dessinais déjà avec des bâtons de cette sorte…

 

Un porte-mine… pour la pierre noire ou la craie blanche !

Pierre noire en bâton cylindrique, dans un porte-mine prévu à cet effet. Photo : R. Martens.
Pierre noire en bâton cylindrique, dans un porte-mine prévu à cet effet. Photo : R. Martens.

Voici un agrandissement de la même photo montrant le porte mine, avec un bâton cylindrique de pierre noire…

J’ai volontairement mis un carton blanc en dessous, afin que la mine soit bien visible. C’est une mine cylindrique !

Il va de soi – et c’est mieux en l’écrivant – que la mine n’est pas sortie autant que sur la photo, au moment où je l’utilise.

En effet, elle risquerait de se casser !

Je possède ces porte-mines depuis longtemps, et j’ignore s’ils sont encore fabriqués.

L’un est de la marque « Critérium » et l’autre porte l’inscription « Conté »…

 

Double mise en garde technique !

Trois sortes de gommes à effacer. Photo : Richard Martens.
Trois sortes de gommes à effacer. Photo : Richard Martens.

La première chose à savoir, c’est que la pierre noire, aussi bien que les autres bâtons, se gomment très difficilement. Elles auraient plutôt tendance à s’étaler et à s’incruster ! Donc commencez par souffler dessus ! Puis posez la gomme mie-de-pain, notée « 3 » sur la photo. Et j’ai bien écrit « Poser », et non pas « frotter » ! Et appuyez. Puis retirez-la. La gomme aura « pris l’empreinte » de la trace du bâton. Malaxez la gomme, pour « bouffer » la trace ôtée du papier. Puis recommencez ! Quand il n’y a plus de matière à ôter, utilisez une gomme « plastique » (notée « 1 » ou « 2 » sur cette même photo), pour enlever ce qui peut rester…

Pictogramme "Clef" par Richard Martens.La deuxième chose à savoir, c’est qu’il est indispensable de fixer le dessin, comme le fusain et le crayon graphite tendre (B à 6B, et plus). Pour cela, utilisez un fixatif ! Du vrai fixatif, bien sûr ! Et non de la laque pour les cheveux, comme je l’ai parfois vu faire !

 

Voir un portrait montrant l’utilisation de la pierre noire et de la craie blanche comme du pastel ?

 Portrait d'homme avec pierre noire et craie blanche, en manière de pastel, par Richard Martens.
Portrait d’homme avec pierre noire et craie blanche, en manière de pastel, par Richard Martens.

Vous pouvez en voir un. Car, il y a un bon moment, j’ai publié un article, sur un autre blogue, concernant un portrait réalisé aux deux crayons utilisés comme du pastel2.

 

Dans le prochain article, j’explique les principes qui régissent l’utilisation de la pierre noire et de la craie blanche, voire de la sanguine :

  • à la façon des deux crayons ;
  • à la façon du pastel.

 

J’espère que cela aura été clair et vous aura été utile ? Merci de me le dire dans les commentaires ci-dessous…

Richard Martens (;-{D}

Texte version 2.0, pour cause de refonte post-piratage.


Note

Comme d’habitude, voici les liens de l’article, au cas où ils seraient brisés dans le corps de l’article… Si c’est le cas, il vous suffit de faire un copier-coller de l’un des liens ci-dessous, et de le coller dans la barre de votre navigateur…

  1. Pierre noire, l’article de Wiktionary : https://fr.wiktionary.org/wiki/pierre_noire (dessin)
  2. Adresse de l’article sur mon autre blogue : http://richard-martens-peintre-illustrateur.com/portrait-homme-0001/